Le Samedi 30 juillet 2022, l’hebdomadaire Jeune Afrique a publié un article intitulé « Pourquoi Tidjane THIAM a décidé de reporter son retour ».
L’auteur de cet article a écrit ce qui suit : « Pour la sécurité et la quiétude du président du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire ‘PDCI) et pour éviter tout heurt entre les partisans d’Henri Konan Bédié et ceux de Tidjane Thiam, les autorités préfectorales ont ainsi demandé à ces derniers de délocaliser leur rassemblement sur un autre site, ce que le banquier franco-suisse a refusé … ». L’auteur poursuit son article en ces termes : « ……Tidjane Thiam entretient des relations tendues avec l’actuel président du parti, Henri Konan Bédié ».
Le PDCI-RDA tient à informer l’opinion nationale et internationale que le voyage du ministre Thiam qui devrait marquer son retour en Côte d’Ivoire, après quelques bonnes années hors de sa terre natale, devrait lui permettre de participer aux obsèques de son défunt oncle, ancien Premier Ministre et Vice-Président du PDCI-RDA, Charles KONAN BANNY. Le PDCI-RDA, le parti du Président Henri KONAN BEDIE, n’est nullement impliqué dans l’organisation de ce retour. Notre parti et son Président n’ont non plus été saisis par une quelconque autorité sur l’organisation d’une activité en conflit avec la sa présence à Yamoussoukro.
Pour ce qui est des rapports supposés tendus entre le Président Bédié et le ministre Thiam, le PDCI-RDA rappelle une fois encore que le président Henri Konan Bédié ne laisse aucune place dans son cœur aux relations conflictuelles avec aucun citoyen de notre pays. Ses rapports avec le ministre Tidjane Thiam, restés toujours empreints de confiance et de très bonne qualité, sont au-dessus de tout commerce politique.
Le PDCI-RDA s’étonne donc des fallacieuses allégations contenues dans cet article.
Le PDCI-RDA invite l’hebdomadaire Jeune Afrique et l’ensemble de la presse internationale à plus de professionnalisme et de sens de la responsabilité dans leurs publications sur la vie du PDCI-RDA, ainsi que des actions de son Président ; il y va de leur crédibilité.
Le porte-parole
Soumaïla KOUASSI BREDOUMY